Gustave FENOUL
Sur les étiquettes d’un herbier du lycée Félix Esclangon est porté comme nom de l’herboriseur G.FENOUL professeur à Nice. Cet herbier a été donné au collège avec une flore sur laquelle a été portée la date du don en 1922 et le nom du donateur Gustave Fenoul.
Aucun renseignement sur la personne, ni à Manosque, ni à Nice.
Avec l’aide des généalogistes de Manosque, nous avons trouvé qu’un Gustave Fenoul était né à Manosque en 1858, d’un père potier venant du Gard marié à une Manosquine et résidant 8 rue des Potiers. Cela nous a permis d'ajouter un 3è potier dans cette rue.
Aucun renseignement sur la personne, ni à Manosque, ni à Nice.
Avec l’aide des généalogistes de Manosque, nous avons trouvé qu’un Gustave Fenoul était né à Manosque en 1858, d’un père potier venant du Gard marié à une Manosquine et résidant 8 rue des Potiers. Cela nous a permis d'ajouter un 3è potier dans cette rue.
Gravure à l'entrée de l'atelier de potier où était un bac à lavage de l'argile. Une noria alimentait l'atelier. Elle devait puiser l(eau dans une "mine d'eau" creusée au flanc du terrain, le relief en pente s'y prêtant.
Gustave Fenoul y est né en 1858 et décédé en 1922. Sa femme y est aussi décédée en 1934 (nous avons retrouvé le registre d’état civil).
C’est en octobre 2012 que nous avons eu confirmation de cet état civil était celui de notre herboriseur et surtout de la qualité de Botaniste, car nous avons trouvé le tombeau Famille FENOUL. Sur les murs sont inscrites les dates de naissance et de la mort ainsi que la qualité de Botaniste sous Gustave Fenoul.
Le tombeau resté en déshérence a été vendu à un particulier.
Plus de traces de la famille Fenoul dans l'édicule.
Le tombeau resté en déshérence a été vendu à un particulier.
Plus de traces de la famille Fenoul dans l'édicule.
Aucun descendant n'étant connu, nous supposons que madame Fenoul elle-même a fait don de cet herbier au collège de Manosque à la mort de son mari.(*)
Un ancien Président de la Société Botanique de France s’est adressé à nous, cherchant la date de naissance et de la mort de Gustave Fenoul ancien sociétaire. Il nous apprend donc que notre Gustave Fenoul sociétaire de la Société Botanique de France, a vécu dans la région parisienne entre autre à Jablines en Seine et Marne et qu’il était marié à une tourangelle. Nous n’avons, ni lui, ni nous, trouvé de parents descendants de Gustave Fenoul.
Un ancien Président de la Société Botanique de France s’est adressé à nous, cherchant la date de naissance et de la mort de Gustave Fenoul ancien sociétaire. Il nous apprend donc que notre Gustave Fenoul sociétaire de la Société Botanique de France, a vécu dans la région parisienne entre autre à Jablines en Seine et Marne et qu’il était marié à une tourangelle. Nous n’avons, ni lui, ni nous, trouvé de parents descendants de Gustave Fenoul.
- Les derniers propriétaires du 8 rue des Potiers n’ont pas eu connaissance de cet antécédent malgré une belle arborisation du jardin.
Sa fiche matricule aux archives départementales nous apprend que habitant à Aix en Provence chez ses parents(?)il a commencé des études ecclésiastiques, qu'il y a vite renoncé et est entré dans l'instruction publique.
Lien pour la consulter:
httpwww.archives04.frark58484s00555c86c928fc55642f20a44ec0
(*)Dans la dernière revue, n°13 des Amis de Jean Giono nous découvrons des liens proches de madame Aline Fenoul avec Jean Giono et sa famille au point qu'elle lui donna en héritage sa maison du 8 rue des Potiers avec le soin de graver son nom sur le mur de la "chapelle" tombale et en faire une concession perpétuelle.
Quelques parts d'herbier ou planches sont au Paraïs.
Quelques parts d'herbier ou planches sont au Paraïs.
L’HERBIER G.FENOUL du LYCÉE FÉLIX ESCLANGON
de MANOSQUE Haute Provence.
Anciens élèves des années 1960, nous avions le souvenir de l’existence d’un herbier conservé dans les murs du lycée.
Une visite en 2003 nous confortait dans l’idée qu’il devait être porté à la connaissance du public, en accord avec le proviseur, par le Comité du Patrimoine Manosquin.
Le créateur de cet herbier Gustave Fenoul est né en 1858 à Manosque, 8 rue des Potiers, fils d’un « potier de terre ». Il y décèdera en 1922.
C’est l’œuvre d’une vie d’un Manosquin.
Il fera ses études supérieures à Aix en Provence. Professeur, il exercera à Nice et à Jablines en Seine et Marne. Il fut membre de la société botanique française dès 1888.
La collecte s’est échelonnée de 1834 à 1920 avec une interruption entre 1914 et 1918.
À la mort de Gustave Fenoul, sans descendance, l’herbier sera donné par sa veuve au lycée en 1922 avec ses ouvrages de détermination.
Dans 3 armoires, 56 dossiers, contiennent plus de 6000 planches de bonne qualité de conservation. Elles sont de diverses origines. Quelques-unes ont été échangées avec d’autres botanistes.
Nous nous sommes fait un devoir de porter à la connaissance du public pour la curiosité et même pour études sur l’origine des plantes récoltées. Certaines ont peut-être migré, voire disparu…
Toutes numérisées par nos soins elles sont maintenant au Muséum National d’Histoire Naturelle dont le Comité du Patrimoine Manosquin est partenaire.
Grâce à Marc Pignal et au Muséum National d’Histoire Naturelle, près de 100 années après sa création, l’herbier G. Fenoul acronyme FEN, est ainsi consultable à volonté sans risque de détérioration.
Rendez-vous à la page Herbier G. Fenoul.
Une visite en 2003 nous confortait dans l’idée qu’il devait être porté à la connaissance du public, en accord avec le proviseur, par le Comité du Patrimoine Manosquin.
Le créateur de cet herbier Gustave Fenoul est né en 1858 à Manosque, 8 rue des Potiers, fils d’un « potier de terre ». Il y décèdera en 1922.
C’est l’œuvre d’une vie d’un Manosquin.
Il fera ses études supérieures à Aix en Provence. Professeur, il exercera à Nice et à Jablines en Seine et Marne. Il fut membre de la société botanique française dès 1888.
La collecte s’est échelonnée de 1834 à 1920 avec une interruption entre 1914 et 1918.
À la mort de Gustave Fenoul, sans descendance, l’herbier sera donné par sa veuve au lycée en 1922 avec ses ouvrages de détermination.
Dans 3 armoires, 56 dossiers, contiennent plus de 6000 planches de bonne qualité de conservation. Elles sont de diverses origines. Quelques-unes ont été échangées avec d’autres botanistes.
Nous nous sommes fait un devoir de porter à la connaissance du public pour la curiosité et même pour études sur l’origine des plantes récoltées. Certaines ont peut-être migré, voire disparu…
Toutes numérisées par nos soins elles sont maintenant au Muséum National d’Histoire Naturelle dont le Comité du Patrimoine Manosquin est partenaire.
Grâce à Marc Pignal et au Muséum National d’Histoire Naturelle, près de 100 années après sa création, l’herbier G. Fenoul acronyme FEN, est ainsi consultable à volonté sans risque de détérioration.
Rendez-vous à la page Herbier G. Fenoul.